Perdre son compagnon est bien plus douloureux que la plupart des gens ne le pensent.
Il commence même à être reconnu que l'on peu souffrir du « syndrome du cœur brisé ». Lorsque notre animal de compagnie meurt, sa famille humaine est affligée.
Les animaux domestiques sont devenue des membres de la famille, qui sont là quand nous nous réveillons et quand nous nous endormons.
Ils sont auprès de nous dans nos moments heureux; nous rassurent, nous consolent quand nous sommes tristes et malades sans jamais nous juger. Nos chouchous voient notre véritable nous et nous aiment inconditionnellement. Certains humains ne reçoivent même pas ça de la part de leur famille… C’est pour cette raison qu’il faut prendre au sérieux le deuil animalier. Lorsque l'on perds son animal, la tristesse peut être tellement importante que l'on peu comme je l'ai dit précédemment souffrir du « syndrome du cœur brisé »,Cela peut arriver lorsque la réponse au deuil est si grave que la personne présente des symptômes qui imitent une crise cardiaque, y compris des niveaux d'hormones élevés qui peuvent être 30 fois supérieurs à la normale. Il est donc nécessaire lorsqu’on est terrassé après ce genre de perte de tendre la main et faire savoir aux gens à quel point on souffre. Nous devons rechercher le soutien social de personnes dont nous savons qu'elles comprendront et sympathiseront avec nos émotions et ne nous jugeront pas de les ressentir. Parfois la famille ne comprend pas l'impact de cette perte, disant que c'est "juste un animal" c'est pourquoi face à rejet il faudra s'orienté vers des personnes qui comprennent cette douleurs tel que les groupes sur les animaux comme sur Facebook pour exemple, ou des amis avec les mêmes attachements. Le départ de notre poilu laisse un vide souvent soudain .On doit donc aimer et soutenir un proche en deuil de son animal, tout comme on le fait pour une perte humaine. Il est important de se souvenir que le deuil et la souffrance qui l'accompagne ne vont pas disparaitre en quelques jours, chacun réagit d'un manière différente. Il est clairement temps de reconnaitre le deuil de nos animaux comme une souffrance réelle et d'offrir la reconnaissance, le soutien et la considération dont les maîtres ont besoin.
Bien sur c'est aussi un travail que nous devons faire sur nous même mais le soutien sera une aide non négligeable pour reprendre le pas .
Certaine personne auront aussi besoin de vivre le deuil comme pour un humain, en inhumant leur animal ou en répandant leur centre dans un lieu de souvenir. Un lieu ou ils pourront revenir, se souvenir et gérer le deuil a leur manière.
Il existe désormais en France quelques lieu de mémoires , des cimetières animaliers mais leur tarif sont assez élevés pour des personnes modestes.
J'espère qu'un jour tout le monde pourra si il le désire y avoir accès.
Si vous vivez un deuil animalier, si vous êtes seule et n'arrivez pas à gérer la situation n’hésitez pas à contacter un thérapeute pour vous aider à vous en sortir.
Parlez de vos sentiments a vos contact et même à moi si vous voulez .
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